Lire et méditer
Qui sont les évangéliques ?
1ere partie
Racines, histoire, évolution
Ce texte est une collaboration du Conseil national des évangéliques de France
Les Églises évangéliques sont-elle un nouveau mouvement religieux, une invention américaine ? En fait, leurs racines remontent à la Réforme, alors que Martin Luther et de nombreux autres remettent en question le pouvoir établi de l'Église de Rome.
En fait, comme leur nom l'indique, la préoccupation première des Églises évangéliques est de s'attacher pleinement à l'enseignement de Jésus-Christ tel que présenté dans la Évangiles, et de le mettre en pratique.
Ce texte retrace les racine, l'histoire et l'évolution du mouvement évangélique.
Qui sont les évangéliques ?
2e partie
Mythes et réalités
Ce texte est une collaboration du Conseil national des évangéliques de France
Les évangéliques n’ont pas le monopole de la vérité et ils le savent. Cependant, ils croient à l’existence d’une vérité unique et absolue, celle de Jésus-Christ qui, parlant de lui-même dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi… » (Jean 14.6). Pour les évangéliques, la vérité ne peut être la propriété d’aucune église ni d’aucun groupe humain. Il s’agit de suivre le Christ qui est venu révéler Dieu le Père.
LE grand dilemme
Dilemme de Dieu, dilemme de l'homme... L'Évangile est-il vraiment une si bonne nouvelle ?
Nous entendons généralement parler de l'Évangile comme étant une « bonne nouvelle ». C'est ce que nous croyons aussi! Là où il existe une bonne nouvelle, par contre, c'est qu'une moins bonne nouvelle a précédé celle-ci. C'est le cas, du moins, de la bonne nouvelle de l'évangile.
lettre d'amour du Père
Ce texte est une collaboration de Connaître Dieu
54 versets pour former la plus belle lettre d'amour d'un père. Chacune de ces paroles vient de la Bible. Elles vont changer votre vie si vous les acceptez, parce qu’elles viennent directement du coeur de Dieu. C'est un message inchangé au cours des siècles : Il vous aime. Il est le Père que vous avez toujours désiré avoir. Voici la lettre d’Amour du Père pour vous.
la lecture de la bible : Par où commencer ?
Stéphane Guillet
Croire et lire, no25.
Bonne nouvelle ! Vous n’êtes pas obligé de lire la Bible d’un seul trait, du début à la fin. Plus tard, vous pourrez tenter l’expérience. Mais en attendant, il vaut mieux s’y prendre autrement. Rappelez-vous: la Bible est une bibliothèque de 66 livres, écrits par une multitude d’auteurs, à des époques différentes. Cela ne signifie pas qu’il est bon de piocher au hasard parmi les livres. Vous risquez, là encore, d’être déçu, de ne percevoir aucune cohérence, et de vous décourager. Cet article propose un parcours que vous pourrez adapter selon la motivation qui vous pousse à lire la Bible.
Pour un accueil gÉnéreux : la parole et le pain
Claire Balverde,
Michée France
« Le pain ne suffit pas à faire vivre l’homme. Celui-ci a besoin aussi de toutes les paroles qui sortent de la bouche de Dieu », ce passage de Deutéronome 8.3 est cité par Jésus au moment de la tentation dans le désert (voir Mat. 4.4). Mais comment Jésus articulait-il ces deux types de nourriture ? A sa suite, quelle place l’Église doit-elle accorder à chacune ? Voyons quel éclairage le récit de Marc 8.1-10 sur la multiplication des pains apporte sur le sujet.
Note : Défi Michée est un mouvement mondial de chrétiens qui oeuvre à mobiliser la communauté protestante en faveur d’un monde plus juste et sans pauvreté, en adaptant leur style de vie aux valeurs bibliques qu’ils défendent. En savoir plus
«La pratique de la catéchèse permettra à la Vérité de s'enraciner profondément dans nos cœurs, et dès que nous commencerons à réfléchir par nous-mêmes, notre réflexion se fera sur la base de cette vérité biblique.»
- Timothy Keller
le nouveau catéchisme pour la cité
Éditeur : Cruciforme
Suggestion de livre
Une foi intelligente et équilibrée
John Stott
Éditeur : GBU / Excelsis
Dans ce classique de la littérature évangélique, réimprimé pour une nouvelle génération, John Stott met en avant l’utilité de la connaissance et de l’équilibre pour la vie chrétienne. Sans connaissance, dit-il, nous nous condamnons à la superficialité spirituelle. Sans équilibre, nous nous laissons emporter à tous vents de doctrine.
Lorsqu’il parle de connaissance, l’auteur défend un engagement de disciple qui implique la totalité de la personne, coeur et intelligence. Lorsqu’il parle d’équilibre, il ne vise pas la neutralité d’un « juste milieu », mais un positionnement ferme, qui refuse le simplisme et l’immaturité, et qui cherche à développer une pensée et une action fidèles à l’Écriture et adaptées à la complexité du monde d’aujourd’hui.